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 USA: C'est encore le bon moment pour acheter

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Tony
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MessageSujet: USA: C'est encore le bon moment pour acheter   USA: C'est encore le bon moment pour acheter EmptyLun 23 Juil - 14:11

Dow Jones le 23/07/2007 15h58

=DJ PLUS

New-York (Dow Jones)--Bonnes mais pas exceptionnelles : c'est ainsi que certains stratégistes voient les perspectives du marché boursier pour le reste de l'année.

Après une hausse de près de 10% du S&P 500, et de 11% du Dow Jones Industrial Average depuis le début 2007, il est difficile d'imaginer des gains substantiels dans les mois à venir. Ce n'est pourtant pas un pari insensé d'anticiper un S&P 500 à 1625 points d'ici la fin de l'année, soit une hausse de 6% sur son niveau actuel de 1534 points.

"L'économie mondiale reste solide", commente Nick Bohnsack, stratégiste chez Strategas Research Partners, à New York. Début 2007, Nick Bohnsack et ses analystes fixaient l'objectif de fin d'année du S&P 500 à 1600 points, une prévision qu'ils maintiennent.

Jim Paulsen, stratégiste en chef chez Wells Capital Management à Minneapolis, ajoute : "Selon moi le marché va continuer de progresser et le S&P 500 atteindra 1600 à 1650 points d'ici la fin de l'année."

Jim Paulsen était l'un des quelques stratégistes haussiers cité par Barron's il y a un an, dans un article intitulé, "Time to Buy" (le moment d'acheter), le 24 juillet 2006. Le S&P 500 s'établissait alors à 1240 points, soit 20% de moins que son niveau actuel. Certains facteurs pourraient cependant perturber le second semestre. La crise des crédits hypotécaires à surprime pénalise un nombre croissant de sociétés financières, CIT Group (CIT) étant l'une des dernières victimes.

Les valeurs financières, plus gros secteur du S&P 500 avec une pondération de 20%, se sont repliées de 2% cette année, à la traîne de l'indice.

Ceux qui parient sur une hausse des marchés plaident que les difficultés du marché immobilier sont déjà intégrées dans les cours des valeurs financières. Toutefois, les achats financés par des emprunts des sociétés d'investissement, qui soutenaient les titres, deviennent plus difficiles à mettre en place car les créanciers refusent les termes d'emprunts favorables qui prévalaient encore récemment.

Il y a néanmoins quelques éléments positifs. Les sociétés prospères continuent de racheter leurs titres à des niveaux record et à relever leur dividende. Home Depot (HD), ConocoPhillips (COP) et Johnson & Johnson (JNJ) ont annoncé récemment des programmes de rachat d'actions de grande envergure. Le rendement total du S&P 500, qui combine versement de dividendes et rachats d'actions, pourrait approcher de 5% cette année.

Les économies en pleine expansion des pays en développement achètent des valeurs industrielles, de Cummins (CMI) à General Electric (GE), et font progresser le secteur énergétique en contribuant à la croissance de la demande de pétrole, dont le cours s'établit à 75 dollars le baril. Malgré les obstacles aux acquisitions financées par emprunts, de grosses transactions continuent d'avoir lieu, tel l'achat de Hilton Hotels (HLT) par Blackstone Group (BX) pour 26 milliards de dollars.

Par ailleurs, la valeur du S&P 500, n'est pas prohibitive, à 16 fois le bénéfice 2007 attendu, contre un ratio cours sur bénéfice de 14, il y a un an.

Mais les analystes pariant sur une baisse des marchés observent que le S&P est plus coûteux qu'il n'y paraît car la pondération de 30% de valeurs financières et énergétiques dont les ratios cours sur bénéfice sont faibles, pèse sur le ratio moyen. Les investisseurs peuvent envisager les choses sous un autre angle et voir une opportunité sur ces secteurs, qui réprésentent la quasi totalité des titres de l'indice dont le ratio cours sur bénéfices est inférieur à 10.

Dans notre article "Time to Buy", nous avions identifié l'an dernier 10 grandes sociétés attrayantes. Ce groupe de valeurs a depuis grimpé de 31% en moyenne, contre une progression de 25% du S&P.

Lesquelles de ces 10 valeurs semblent encore intéressantes ? Lehman Brothers (LEH), dont le titre a souffert d'inquiétudes sur l'exposition aux crédits immobiliers de la société, s'échange actuellement à 70 dollars, loin de son plus-haut de 86 dollars. Cela correspond à peine à neuf fois le bénéfice 2007, atendu à 8 dollar par action, et à moins de deux fois la valeur des fonds propres de 37 dollars par action. Une acquisition de Lehman est peu probable, mais possible si le cours reste faible.

Il y a également General Electric, dont le cours a récemment franchi en hausse la barre des 40 dollars, et qui est reconnu tardivement comme une valeur detinée à jouer le boom des infrastructures. GE se traite à 18 fois les résultats 2007 attendu et le rendement du dividende se monte à 2,8%.

Le géant suisse Nestlé (NSRGY) refuse de coter ses titres sur un indice américain majeur et possède une cotation sur l'équivalent du marché libre, le Pink Sheets. Cela ne doit pas faire oublier le profil de la société, qui enregistre une croissance parmi les plus rapides du secteur. Son titre, à environ 98 dollars, s'échange à 17 fois le bénéfice attendu pour 2007. Le multiple cours sur bénéfice effectif de l'activité dans l'agro-alimentaire est plus proche de 15, une fois exclues les participations de Nestlé dans Alcon (ACL) et L'Oréal. Les valeurs américaines de l'agro-alimentaires s'échangent en moyenne 19 fois le bénéfice net 2007. Alcon, qui vaut plus de 30 milliards de dollars, pourrait être cédé ou scindé dans l'année à venir.

Ces valeurs et d'autres présentent un potentiel de hausse pour les prochains mois, particulièrement si l'économie mondiale reste solide. L'été dernier, le marché se redressait et il n'a pas interrompu son ascension depuis. Cette progression n'est pas terminée.

New-York (Dow Jones)--Bonnes mais pas exceptionnelles : c'est ainsi que certains stratégistes voient les perspectives du marché boursier pour le reste de l'année.

Après une hausse de près de 10% du S&P 500, et de 11% du Dow Jones Industrial Average depuis le début 2007, il est difficile d'imaginer des gains substantiels dans les mois à venir. Ce n'est pourtant pas un pari insensé d'anticiper un S&P 500 à 1625 points d'ici la fin de l'année, soit une hausse de 6% sur son niveau actuel de 1534 points.

"L'économie mondiale reste solide", commente Nick Bohnsack, stratégiste chez Strategas Research Partners, à New York. Début 2007, Nick Bohnsack et ses analystes fixaient l'objectif de fin d'année du S&P 500 à 1600 points, une prévision qu'ils maintiennent.

Jim Paulsen, stratégiste en chef chez Wells Capital Management à Minneapolis, ajoute : "Selon moi le marché va continuer de progresser et le S&P 500 atteindra 1600 à 1650 points d'ici la fin de l'année."

Jim Paulsen était l'un des quelques stratégistes haussiers cité par Barron's il y a un an, dans un article intitulé, "Time to Buy" (le moment d'acheter), le 24 juillet 2006. Le S&P 500 s'établissait alors à 1240 points, soit 20% de moins que son niveau actuel. Certains facteurs pourraient cependant perturber le second semestre. La crise des crédits hypotécaires à surprime pénalise un nombre croissant de sociétés financières, CIT Group (CIT) étant l'une des dernières victimes.

Les valeurs financières, plus gros secteur du S&P 500 avec une pondération de 20%, se sont repliées de 2% cette année, à la traîne de l'indice.

Ceux qui parient sur une hausse des marchés plaident que les difficultés du marché immobilier sont déjà intégrées dans les cours des valeurs financières. Toutefois, les achats financés par des emprunts des sociétés d'investissement, qui soutenaient les titres, deviennent plus difficiles à mettre en place car les créanciers refusent les termes d'emprunts favorables qui prévalaient encore récemment.

Il y a néanmoins quelques éléments positifs. Les sociétés prospères continuent de racheter leurs titres à des niveaux record et à relever leur dividende. Home Depot (HD), ConocoPhillips (COP) et Johnson & Johnson (JNJ) ont annoncé récemment des programmes de rachat d'actions de grande envergure. Le rendement total du S&P 500, qui combine versement de dividendes et rachats d'actions, pourrait approcher de 5% cette année.

Les économies en pleine expansion des pays en développement achètent des valeurs industrielles, de Cummins (CMI) à General Electric (GE), et font progresser le secteur énergétique en contribuant à la croissance de la demande de pétrole, dont le cours s'établit à 75 dollars le baril. Malgré les obstacles aux acquisitions financées par emprunts, de grosses transactions continuent d'avoir lieu, tel l'achat de Hilton Hotels (HLT) par Blackstone Group (BX) pour 26 milliards de dollars.

Par ailleurs, la valeur du S&P 500, n'est pas prohibitive, à 16 fois le bénéfice 2007 attendu, contre un ratio cours sur bénéfice de 14, il y a un an.

Mais les analystes pariant sur une baisse des marchés observent que le S&P est plus coûteux qu'il n'y paraît car la pondération de 30% de valeurs financières et énergétiques dont les ratios cours sur bénéfice sont faibles, pèse sur le ratio moyen. Les investisseurs peuvent envisager les choses sous un autre angle et voir une opportunité sur ces secteurs, qui réprésentent la quasi totalité des titres de l'indice dont le ratio cours sur bénéfices est inférieur à 10.

Dans notre article "Time to Buy", nous avions identifié l'an dernier 10 grandes sociétés attrayantes. Ce groupe de valeurs a depuis grimpé de 31% en moyenne, contre une progression de 25% du S&P.

Lesquelles de ces 10 valeurs semblent encore intéressantes ? Lehman Brothers (LEH), dont le titre a souffert d'inquiétudes sur l'exposition aux crédits immobiliers de la société, s'échange actuellement à 70 dollars, loin de son plus-haut de 86 dollars. Cela correspond à peine à neuf fois le bénéfice 2007, atendu à 8 dollar par action, et à moins de deux fois la valeur des fonds propres de 37 dollars par action. Une acquisition de Lehman est peu probable, mais possible si le cours reste faible.

Il y a également General Electric, dont le cours a récemment franchi en hausse la barre des 40 dollars, et qui est reconnu tardivement comme une valeur detinée à jouer le boom des infrastructures. GE se traite à 18 fois les résultats 2007 attendu et le rendement du dividende se monte à 2,8%.

Le géant suisse Nestlé (NSRGY) refuse de coter ses titres sur un indice américain majeur et possède une cotation sur l'équivalent du marché libre, le Pink Sheets. Cela ne doit pas faire oublier le profil de la société, qui enregistre une croissance parmi les plus rapides du secteur. Son titre, à environ 98 dollars, s'échange à 17 fois le bénéfice attendu pour 2007. Le multiple cours sur bénéfice effectif de l'activité dans l'agro-alimentaire est plus proche de 15, une fois exclues les participations de Nestlé dans Alcon (ACL) et L'Oréal. Les valeurs américaines de l'agro-alimentaires s'échangent en moyenne 19 fois le bénéfice net 2007. Alcon, qui vaut plus de 30 milliards de dollars, pourrait être cédé ou scindé dans l'année à venir.

Ces valeurs et d'autres présentent un potentiel de hausse pour les prochains mois, particulièrement si l'économie mondiale reste solide. L'été dernier, le marché se redressait et il n'a pas interrompu son ascension depuis. Cette progression n'est pas terminée.

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